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| Jean Estivill, 11 décembre, 17h33 |
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| 23 millions d'abstentionnistes, marque d'une colère froide, un avertissement... une prise de position politique, contrairement aux donneurs de leçons pour qui voter est un devoir, mais pas celui de se syndiquer, de manifester, de faire grève, qui sont aussi des droits et non des devoirs, mais qu'ils ignorent. |
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| On entend : "Certains sont morts pour le droit de vote". Parce que vous croyez que les autres on les a généreusement octroyés ? Non, ils ont été eux aussi arrachés par le peuple... Et tous on en fait l'usage qu'on veut... ou alors tous par exemple, ensemble débrayons, faisons grève pour défendre l'Ecole publique qu'on assassine, la santé publique au moment où on supprime 20 000 lits d’hôpital, et la sureté, quand on préfère casser du roms ou de l'écolo plutôt que de recruter et de former des policiers et des juges anti terroristes, détruire nos communes et les services publiques, et j'en passe… |
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| Ne voit on pas que Valls réussit son coup… Quelle que soit l'issue du scrutin, il convient aux maitres qu'il sert, et Macron, mercenaire sur gages, pourra continuer à détruire le code du travail. |
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| Dimanche, on me donne le choix : sauter du 20e ou du 21e étage. C’est vraiment trop de démocratie ! |
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| Jean Estivill, 15h00 |
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| Voilà, leur opération est réussie, commencée lors du congrès du Front national en initiant une campagne médiatique énorme et incessante autour de l'inconnue La fille Le Pen, on créait le "diable de confort", "épouvantail" à sortir pour justifier qu'on s'embrasse sur la bouche avec l'union sacrée et continuer la politique décidée par l'UE entre autre,et totalement partagée par le PS et le PR. |
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| Un problème pour la droite Sarkozy qui n'a rien compris à cette stratégie, un atout Juppé qui depuis longtemps l'a intégrée. Un danger et non des moindres, on ne fait pas joujou avec le fascisme... Quant au peuple cocufié, il ne le reste pas toujours trop longtemps. |
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